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i'm sick of those men, always treat women as stupids objets. i wont bear this situation one more second.Les gens me qualifient souvent comme quelqu’un de…dérangée. Mais pas dans le mauvais sens, dérangé dans le bon sens, quoi que je doute vraiment qu’il y ait une quelquonce chose positive à être dérangée. En fait c’est assez difficile à expliquer, on peut dire que j’ai deux personnalités ; soit Sinae pile & Sinae face, mais étrangement je ne me rends jamais compte quand je quitte d’une phase à l’autre, c’est presque normale…presque. ‘Sinae pile’ c’est celle que vous risquerez de rencontrer le plus souvent. Agitée, surexcitée, la plupart du temps on me compare à une pile électrique qui ne s’épuise jamais, et j’avoue que parfois je peux être un peu chiante, mais juste un peu. Je vis la vie au jour le jour, sans me préoccuper de ce que sera mon lendemain, après tout on ne vit qu’une fois, alors vaut mieux vivre à fond, et ne rien regretter, du moins essayer, et c’est pour ça qu’il ne faut penser qu’à soi, parce que l’on vit aussi pour soit et non pour les autres, après tout, la bonne charité commence par soit même. & Sinae face ? C’est plus compliqué à expliquer, pour la comprendre il vaut mieux remonter dans mon enfance, pour essayer de décortiquer tout ça…
Aussi longtemps que je me souvienne, mes parents ont toujours été divorcés, ils se sont séparés quand j’étais encore jeune. Mon père était l’actionnaire majoritaire d’une grande entreprise et était extrêmement riche. Ma mère, elle… ne faisait rien, elle vient des quartiers modestes et a réussi à se marier avec ce grand homme d’affaire, et voilà que neuf mois plus tard je suis née. Mais la romance n’a pas duré bien longtemps puisqu’à peine un an et demi plus tard, ils ont divorcés, ma mère a eût une indemnité mais à tout dépensé dans divers produits inutiles, et a dû recommencer à vivre dans les quartiers modestes… avec moi. A l’époque, ma mère ne me racontait rien sur mon père, je ne savais pas qui il était, mais je m’en occupais pas vraiment. Tout ce que je voulais c’était que ma mère soit fière de moi, et pouvoir nous sortir au plus tard de cette situation miséreuse. Malheureusement, j’avais l’impression que ma mère ne se rendait pas compte de tous les efforts que je faisais, et me disait de ne pas m’inquiéter, qu’un jour on vivrait enfin mieux, mais comment ? Elle sortait souvent, me laisser seule, elle prétendait travailler, mais j’ai vite découvert qu’elle passait la nuit dans des bars. C’était comme ça qu’elle voulait nous offrir une vie meilleure ? En trainant dans des bars mal fréquenter ou essayer de se faire entretenir par un autre homme. Pathétique.
Cette situation dura pendant quatorze longues années, et à l’aube de mes quinze ans, la vit s’améliorait, enfin presque. On vivait mieux, oui ma mère avait trouvé un travail enfin c’est ce que je pensais, et les conditions de vie était un peu plus descente. Je pense que ce fut l’époque la plus heureuse de ma vie, jusqu’à ce que je découvre comment elle gagnait cet argent. Un jour, complètement saoul, elle avoua tout. Ca faisait trois ans, qu’elle passait les nuits avec mon père en échange d’argent, afin de subvenir à nos besoins, mais il y a cinq mois ça a commencé à se dégrader, elle voulait arrêter, mais il l’a forçait, et la menaçait de tous me révéler, si elle ne continuait pas à… s’offrir à lui… Ce jour-là, j’ai elle a perdu toute sa décence face à moi.
Mais c’était plus fort que moi, j’étais obligé de lui rendre justice, du moins essayer, mais mon père n’a même pas fait cas de moi quand j’ai essayé d’avoir des explications, et quand j’ai tout avoué à la police… on m’a prise pour une folle, et même ma mère m’a abandonné, et n’a même pas voulu avouer, alors que c’était à sa portée. Je me suis sentie complètement seule, abandonnée, délaissée… J’ai pleuré pendant tellement de temps, on ne pouvait pas me consoler, de toute façon il n’y avait personne pour le faire. J’ai dû hiberner un bon moment, avant d’enfin comprendre ce que je devais enfin faire. Finalement je suis allé vivre chez ma tante, je ne voulais plus avoir rien à faire avec ces deux personnes. C’est là où j’ai commencé à avoir une haine énorme envers les hommes, je pensais qu’ils étaient tous comme mon père… Au début, ce n’était qu’une haine inoffensive, puis petit à petit j’ai commencé à vouloir leur faire du mal, les faire souffrir… Alors je sortais avec eux, puis je faisais tout pour ensuite pouvoir leur faire du mal, d’une manière ou d’une autre, le plus important était qu’il devait souffrir. Il fallait que je leur fasse mal sinon je n’arrivais pas à dormir. Cette à cause de cette obsession qu’est apparue Sinae face. J’ai blessé beaucoup de gens comme ça, et le pire c’est que ça me faisait du… du bien, et je ne regrette pas ce que j’ai fait. Disons que maintenant, ça s’est calmé. Enfin presque, disons juste que j’ai plus de discernement, tous les hommes ne sont pas des crapules, juste 98% d’entre eux le sont, et ces 98% là, je n’hésiterai pas à les faire entrer dans mon jeu et les balader comme de vulgaires pantins. Nan je ne suis pas sadique, c’est une vengeance personnelle que je dois accomplir… Maintenant je vis seule, et je ne sais plus trop quoi faire de ma vie. Je veux juste en profiter au maximum et ce qui devra arriver, arrivera, mais je ne compte rien planifier. On ne vit qu’une fois, et le meilleur moyen de s’amuser c’est de tout essayer pour ne rien regretter, et je compte bien tous les mettre à genoux, pour qu’ils n’oublient pas d’avoir eût le malheur de croiser le chemin de Nam Sin Ae.
love sucks. that's all.L’amour ? Laissez-moi rire, tout ça c’est de la daub, c’est comme et pas autrement. Personnellement, je n’y crois pas. Je ne suis jamais tombé amoureuse, et je ne tomberai jamais amoureuse. De qui d’ailleurs ? Je ne veux même pas y répondre, ça ne sert à rien. Les garçons sont tous des imb.ciles, des conn.rds, des sal.uds, enfin tout ce que vous voulez, ils ne méritent même pas qu’on les aime. Parce que amour apporte forcément souffrance, et s’ils y a bien des gens qui doivent souffrir ce sont eux. Kupids ? Pour raconter de tels bêtises, je suis sur que c’est un homme. Je lis souvent son blog, juste pour rire bien sûr, je n’en ai vraiment rien à faire, et tout ce qu’il raconte c’est vraiment aberrant, mais si ça l’amuse… Enfin tout ça pour dire que je ne crois pas à l’amour, parce l’amour c’est à deux, on est obligé d’aimer quelqu’un et malheureusement, on ne peut pas faire confiance à quelqu’un au point de lui donner son cœur. L’amour c’est bien pour les faibles, et pas pour les gens comme moi…
Aussi longtemps que je me souvienne, mes parents ont toujours été divorcés, ils se sont séparés quand j’étais encore jeune. Mon père était l’actionnaire majoritaire d’une grande entreprise et était extrêmement riche. Ma mère, elle… ne faisait rien, elle vient des quartiers modestes et a réussi à se marier avec ce grand homme d’affaire, et voilà que neuf mois plus tard je suis née. Mais la romance n’a pas duré bien longtemps puisqu’à peine un an et demi plus tard, ils ont divorcés, ma mère a eût une indemnité mais à tout dépensé dans divers produits inutiles, et a dû recommencer à vivre dans les quartiers modestes… avec moi. A l’époque, ma mère ne me racontait rien sur mon père, je ne savais pas qui il était, mais je m’en occupais pas vraiment. Tout ce que je voulais c’était que ma mère soit fière de moi, et pouvoir nous sortir au plus tard de cette situation miséreuse. Malheureusement, j’avais l’impression que ma mère ne se rendait pas compte de tous les efforts que je faisais, et me disait de ne pas m’inquiéter, qu’un jour on vivrait enfin mieux, mais comment ? Elle sortait souvent, me laisser seule, elle prétendait travailler, mais j’ai vite découvert qu’elle passait la nuit dans des bars. C’était comme ça qu’elle voulait nous offrir une vie meilleure ? En trainant dans des bars mal fréquenter ou essayer de se faire entretenir par un autre homme. Pathétique.
Cette situation dura pendant quatorze longues années, et à l’aube de mes quinze ans, la vit s’améliorait, enfin presque. On vivait mieux, oui ma mère avait trouvé un travail enfin c’est ce que je pensais, et les conditions de vie était un peu plus descente. Je pense que ce fut l’époque la plus heureuse de ma vie, jusqu’à ce que je découvre comment elle gagnait cet argent. Un jour, complètement saoul, elle avoua tout. Ca faisait trois ans, qu’elle passait les nuits avec mon père en échange d’argent, afin de subvenir à nos besoins, mais il y a cinq mois ça a commencé à se dégrader, elle voulait arrêter, mais il l’a forçait, et la menaçait de tous me révéler, si elle ne continuait pas à… s’offrir à lui… Ce jour-là, j’ai elle a perdu toute sa décence face à moi.
Mais c’était plus fort que moi, j’étais obligé de lui rendre justice, du moins essayer, mais mon père n’a même pas fait cas de moi quand j’ai essayé d’avoir des explications, et quand j’ai tout avoué à la police… on m’a prise pour une folle, et même ma mère m’a abandonné, et n’a même pas voulu avouer, alors que c’était à sa portée. Je me suis sentie complètement seule, abandonnée, délaissée… J’ai pleuré pendant tellement de temps, on ne pouvait pas me consoler, de toute façon il n’y avait personne pour le faire. J’ai dû hiberner un bon moment, avant d’enfin comprendre ce que je devais enfin faire. Finalement je suis allé vivre chez ma tante, je ne voulais plus avoir rien à faire avec ces deux personnes. C’est là où j’ai commencé à avoir une haine énorme envers les hommes, je pensais qu’ils étaient tous comme mon père… Au début, ce n’était qu’une haine inoffensive, puis petit à petit j’ai commencé à vouloir leur faire du mal, les faire souffrir… Alors je sortais avec eux, puis je faisais tout pour ensuite pouvoir leur faire du mal, d’une manière ou d’une autre, le plus important était qu’il devait souffrir. Il fallait que je leur fasse mal sinon je n’arrivais pas à dormir. Cette à cause de cette obsession qu’est apparue Sinae face. J’ai blessé beaucoup de gens comme ça, et le pire c’est que ça me faisait du… du bien, et je ne regrette pas ce que j’ai fait. Disons que maintenant, ça s’est calmé. Enfin presque, disons juste que j’ai plus de discernement, tous les hommes ne sont pas des crapules, juste 98% d’entre eux le sont, et ces 98% là, je n’hésiterai pas à les faire entrer dans mon jeu et les balader comme de vulgaires pantins. Nan je ne suis pas sadique, c’est une vengeance personnelle que je dois accomplir… Maintenant je vis seule, et je ne sais plus trop quoi faire de ma vie. Je veux juste en profiter au maximum et ce qui devra arriver, arrivera, mais je ne compte rien planifier. On ne vit qu’une fois, et le meilleur moyen de s’amuser c’est de tout essayer pour ne rien regretter, et je compte bien tous les mettre à genoux, pour qu’ils n’oublient pas d’avoir eût le malheur de croiser le chemin de Nam Sin Ae.
love sucks. that's all.L’amour ? Laissez-moi rire, tout ça c’est de la daub, c’est comme et pas autrement. Personnellement, je n’y crois pas. Je ne suis jamais tombé amoureuse, et je ne tomberai jamais amoureuse. De qui d’ailleurs ? Je ne veux même pas y répondre, ça ne sert à rien. Les garçons sont tous des imb.ciles, des conn.rds, des sal.uds, enfin tout ce que vous voulez, ils ne méritent même pas qu’on les aime. Parce que amour apporte forcément souffrance, et s’ils y a bien des gens qui doivent souffrir ce sont eux. Kupids ? Pour raconter de tels bêtises, je suis sur que c’est un homme. Je lis souvent son blog, juste pour rire bien sûr, je n’en ai vraiment rien à faire, et tout ce qu’il raconte c’est vraiment aberrant, mais si ça l’amuse… Enfin tout ça pour dire que je ne crois pas à l’amour, parce l’amour c’est à deux, on est obligé d’aimer quelqu’un et malheureusement, on ne peut pas faire confiance à quelqu’un au point de lui donner son cœur. L’amour c’est bien pour les faibles, et pas pour les gens comme moi…