- papers, papers;;
Nan nuneul gama kkeuchi eomneun kkumeul kkwo geureoke na maeil bam gidohaenneunde
C’est à Séoul que tout se passe. Dans un appartement qui se trouve alors dans un quartier modeste. Le soleil qui se couche indique que la journée fait place à la nuit. Assise à son bureau, une jeune fille à l’allure enfantine se tient droite devant ce qui semble être son journal intime. Un stylo à la main, elle s’apprête à y écrire tout ce qu’elle ressent. Ce cahier à l’allure banal renferme toutes ses peines, ses inquiétudes, ses joies en soit ses sentiments. Prenant un profond souffle, la plume vînt toucher la page, la jeune coréenne jette un coup d’œil vers le ciel composé de milliers d’étoiles et commença à décrire, à raconter ce qui est sa vie.
« Cher journal, je pense que me présenter et l’une des choses les plus logique à faire. Mon nom est Kwon Ye Won. Je trouve que c’est drôle à prononcer et aussi joli. Âgée de dix-huit ans j’entends souvent les gens autour de moi me dirent que je ne fais pas mon âge. C’est surement dû à mon visage qui me fait paraître un peu plus jeune. Petite brune, car je n’atteins que les un mètre soixante, je ne me laissais pas faire quand j’étais petite, bien sur que non j’avais mon oppa pour me protéger! Je ne fais pas parti de ce groupe de personnes qui sont riches, qui possèdent de grandes et magnifiques villas hors de prix et qui se pavanent avec leurs affaires de marques. La vie que je mène, je le n’ai pas choisi et je m’y sens très mal. Pourtant au début je n’aurais pas crû en arriver là. Ma vie de petite fille, je l’ai vécue loin de Séoul dans une ville alors très pauvre. Ma maman ne s’occupait presque jamais de nous, elle sortait souvent le soir même tout le temps. Je n’osais jamais lui demander où elle allait de peur de me faire engueuler mais avec le temps j’ai bien finit par comprendre et par découvrir l’endroit où elle se rendait chaque soir. A mes yeux c’était bien horrible.
Quand à mon père…c’est une longue histoire, un long mystère que j’essaye de résoudre. J’espère qu’un jour arrive le moment où je le verrais de mes propres yeux, il se tiendrait devant moi et je le prendrais surement dans mes bras. Cet espoir je le garde au fond de moi et y pense à chaque minute. Je ne manque pas une occasion de faire le vœu de vivre avec lui. Ce même rituel, en fin de mois on reçoit, moi et mon frère, de l’argent dans une enveloppe. On sait que c’est lui mais on ne sait pas où il se trouve. Je suis sûre qu’il doit avoir beaucoup d’argent. Mais pourquoi n’est-il pas avec nous, c’est une question sans réponse. Dans ces moments là je me dis que je le déteste. Après avoir quittés notre horrible vie d’avant, mon frère m’emmena à Séoul, nous étions scolarisés dans deux écoles là-bas. Tae Hwan à l’université et moi au lycée. Et même s’il était en bas du classement des meilleures écoles, même s’il n’y avait pas de gens fortunés là-bas, je m’y suis tout de suite plu. De nature joyeuse, j’apportais la bonne humeur et je faisais souvent rire mes camarades de classe qui sont rapidement devenus mes amis. Le peu que j’en ai me suffit amplement. J’aidai la plupart du temps les gens de ma classe pour qu’ils aient la capacité de réussir leur examen. Chaque matin était plus beau que le précédent. Jusqu’à ce que mon paternel découvre par je ne sais quels moyens dans quels établissement nous nous trouvions. En à peine une semaine nous changions d’école, je dû dire adieu à mes amis et dire bonjour à ce que je redoutais le plus : une école pour gamins bourrés de frics appelée Seoran. Mon cauchemar devenait réalité et j’en fus affecté. Je ne voulais pas y aller, non non non. Et d’ailleurs quand je m’y rends c’est pour rester avec mon frère, le suivre et ne pas parler aux autres étudiants. Je ne les regarde pas et je ne veux rien savoir d’eux. C’était sûr pour moi, ils ne pénètreront jamais dans mon cercle d’amitié.
Après les cours, je ne prenais pas dix milles ans pour rentrer chez moi et je me réfugiais dans mes passions, dans ce qui me faisait encore sourire et non pleurer. Le patinage, j’étais tombée sur une émission ou plutôt un concours en direct qui montrait plusieurs duos s’affrontant, je fus de suite fascinée par ces exploits et je ne loupais pas une miette de chaque évènements diffusés à la télé. Le temps passa et je devais à présent choisir quel possible métier je voulais faire plus tard. J’écartais le patinage artistique car je savais que ce n’était pas une vocation qui allait me réussir vu mon niveau en sport. Depuis plusieurs mois j’avais dans l’idée de faire des études dans le domaine de l’art. Un professeur m’aida dans mes recherches. Il mentionna mon talent pour le dessin, avec cette information j’en avais conclu que des études dans la création de vêtement ou bien dans le design ne seraient pas plus mal. Vu que j’aime bien la mode, que je me vêtis d’habits en tout genre, colorés et très originaux et qu’à mes yeux redécorer une pièce tout entière est intéressant et me plairait fortement. Mais un jour je surpris mon frère dans ses recherches sur l’identité de notre père et tout ce qui était possible de soutirer comme informations. Je décidais alors de me joindre à lui et tout deux nous essayons de parvenir à notre but. Parce que même si je ne le dis jamais devant Hwannie, mon papa me manque. »
Laissant tomber son stylo, sa tête vînt se poser sur son journal intime. Ye Won était simplement fatiguée. Ses mains se rejoignirent devant pour venir soutenir sa tête. Et avec ceci, une larme perla sur sa joue et laissa une trace jusqu’à la commissure de ses lèvres. Tae Hwan passa devant sa chambre et l’aperçut. Il franchit le seuil de la porte et y trouva sa petite sœur dans cette position. Un léger sourire vînt se dessiner sur son visage et dans la pénombre il s’avança. La lumière de la lune lui fit voir la gouttelette d’eau salée, avec son pouce il la fit disparaître. Redressant Yewon doucement et lentement pour ne pas la réveiller, il plaça une main derrière son dos et une autre qui souleva ses jambes. Telle une petite princesse, il la déposa dans son lit, rabattant la couverture jusqu’au menton. La scène se termina par un bisou sur le front et un « Bonne nuit » même si sa sœur était déjà dans les bras de Morphée. On put croire ça mais quand il finit par quitter la pièce pour lui-même rejoindre sa chambre, on entendit venant de la coréenne :
« Oppa… »
Imi nae nunmureun da ma ma mareugo
On me dit que l’amour ça fait mal, c’est long, c’est éprouvant et ça ne sert à rien. Je n’ai jamais eut de petit-amis et je préfère m’occuper de mes amis. Je pense être plus douée pour ça, alors je laisse de côté ce sentiment et j’essaye de ne pas trop y penser. Avec le temps, il m’arrive de ressentir le besoin d’avoir quelqu’un auprès de moi mais je me tourne vers mon frère et me force à ignorer ça. Je ne cache pas le fait que je suis déjà tombée amoureuse mais j’ai plutôt aidé une de mes amies qui était amoureuse elle aussi de ce même garçon. Ca ne me fait pas mal d’être seule au milieu des filles de ma classe qui sont toutes en couple. Je le vis bien et je ne changerais pas ça de si tôt. Quand au blog et à ce Kupidys, je trouve que c’est méchant de faire ça et ridicule. J’y jette un coup d’œil une ou deux fois par mois mais pas plus, c’est vraiment quand je m’ennuie beaucoup que je laisse des commentaires mais c’est juste pour lui conseiller de fermer ce blog.
C’est à Séoul que tout se passe. Dans un appartement qui se trouve alors dans un quartier modeste. Le soleil qui se couche indique que la journée fait place à la nuit. Assise à son bureau, une jeune fille à l’allure enfantine se tient droite devant ce qui semble être son journal intime. Un stylo à la main, elle s’apprête à y écrire tout ce qu’elle ressent. Ce cahier à l’allure banal renferme toutes ses peines, ses inquiétudes, ses joies en soit ses sentiments. Prenant un profond souffle, la plume vînt toucher la page, la jeune coréenne jette un coup d’œil vers le ciel composé de milliers d’étoiles et commença à décrire, à raconter ce qui est sa vie.
« Cher journal, je pense que me présenter et l’une des choses les plus logique à faire. Mon nom est Kwon Ye Won. Je trouve que c’est drôle à prononcer et aussi joli. Âgée de dix-huit ans j’entends souvent les gens autour de moi me dirent que je ne fais pas mon âge. C’est surement dû à mon visage qui me fait paraître un peu plus jeune. Petite brune, car je n’atteins que les un mètre soixante, je ne me laissais pas faire quand j’étais petite, bien sur que non j’avais mon oppa pour me protéger! Je ne fais pas parti de ce groupe de personnes qui sont riches, qui possèdent de grandes et magnifiques villas hors de prix et qui se pavanent avec leurs affaires de marques. La vie que je mène, je le n’ai pas choisi et je m’y sens très mal. Pourtant au début je n’aurais pas crû en arriver là. Ma vie de petite fille, je l’ai vécue loin de Séoul dans une ville alors très pauvre. Ma maman ne s’occupait presque jamais de nous, elle sortait souvent le soir même tout le temps. Je n’osais jamais lui demander où elle allait de peur de me faire engueuler mais avec le temps j’ai bien finit par comprendre et par découvrir l’endroit où elle se rendait chaque soir. A mes yeux c’était bien horrible.
Quand à mon père…c’est une longue histoire, un long mystère que j’essaye de résoudre. J’espère qu’un jour arrive le moment où je le verrais de mes propres yeux, il se tiendrait devant moi et je le prendrais surement dans mes bras. Cet espoir je le garde au fond de moi et y pense à chaque minute. Je ne manque pas une occasion de faire le vœu de vivre avec lui. Ce même rituel, en fin de mois on reçoit, moi et mon frère, de l’argent dans une enveloppe. On sait que c’est lui mais on ne sait pas où il se trouve. Je suis sûre qu’il doit avoir beaucoup d’argent. Mais pourquoi n’est-il pas avec nous, c’est une question sans réponse. Dans ces moments là je me dis que je le déteste. Après avoir quittés notre horrible vie d’avant, mon frère m’emmena à Séoul, nous étions scolarisés dans deux écoles là-bas. Tae Hwan à l’université et moi au lycée. Et même s’il était en bas du classement des meilleures écoles, même s’il n’y avait pas de gens fortunés là-bas, je m’y suis tout de suite plu. De nature joyeuse, j’apportais la bonne humeur et je faisais souvent rire mes camarades de classe qui sont rapidement devenus mes amis. Le peu que j’en ai me suffit amplement. J’aidai la plupart du temps les gens de ma classe pour qu’ils aient la capacité de réussir leur examen. Chaque matin était plus beau que le précédent. Jusqu’à ce que mon paternel découvre par je ne sais quels moyens dans quels établissement nous nous trouvions. En à peine une semaine nous changions d’école, je dû dire adieu à mes amis et dire bonjour à ce que je redoutais le plus : une école pour gamins bourrés de frics appelée Seoran. Mon cauchemar devenait réalité et j’en fus affecté. Je ne voulais pas y aller, non non non. Et d’ailleurs quand je m’y rends c’est pour rester avec mon frère, le suivre et ne pas parler aux autres étudiants. Je ne les regarde pas et je ne veux rien savoir d’eux. C’était sûr pour moi, ils ne pénètreront jamais dans mon cercle d’amitié.
Après les cours, je ne prenais pas dix milles ans pour rentrer chez moi et je me réfugiais dans mes passions, dans ce qui me faisait encore sourire et non pleurer. Le patinage, j’étais tombée sur une émission ou plutôt un concours en direct qui montrait plusieurs duos s’affrontant, je fus de suite fascinée par ces exploits et je ne loupais pas une miette de chaque évènements diffusés à la télé. Le temps passa et je devais à présent choisir quel possible métier je voulais faire plus tard. J’écartais le patinage artistique car je savais que ce n’était pas une vocation qui allait me réussir vu mon niveau en sport. Depuis plusieurs mois j’avais dans l’idée de faire des études dans le domaine de l’art. Un professeur m’aida dans mes recherches. Il mentionna mon talent pour le dessin, avec cette information j’en avais conclu que des études dans la création de vêtement ou bien dans le design ne seraient pas plus mal. Vu que j’aime bien la mode, que je me vêtis d’habits en tout genre, colorés et très originaux et qu’à mes yeux redécorer une pièce tout entière est intéressant et me plairait fortement. Mais un jour je surpris mon frère dans ses recherches sur l’identité de notre père et tout ce qui était possible de soutirer comme informations. Je décidais alors de me joindre à lui et tout deux nous essayons de parvenir à notre but. Parce que même si je ne le dis jamais devant Hwannie, mon papa me manque. »
Laissant tomber son stylo, sa tête vînt se poser sur son journal intime. Ye Won était simplement fatiguée. Ses mains se rejoignirent devant pour venir soutenir sa tête. Et avec ceci, une larme perla sur sa joue et laissa une trace jusqu’à la commissure de ses lèvres. Tae Hwan passa devant sa chambre et l’aperçut. Il franchit le seuil de la porte et y trouva sa petite sœur dans cette position. Un léger sourire vînt se dessiner sur son visage et dans la pénombre il s’avança. La lumière de la lune lui fit voir la gouttelette d’eau salée, avec son pouce il la fit disparaître. Redressant Yewon doucement et lentement pour ne pas la réveiller, il plaça une main derrière son dos et une autre qui souleva ses jambes. Telle une petite princesse, il la déposa dans son lit, rabattant la couverture jusqu’au menton. La scène se termina par un bisou sur le front et un « Bonne nuit » même si sa sœur était déjà dans les bras de Morphée. On put croire ça mais quand il finit par quitter la pièce pour lui-même rejoindre sa chambre, on entendit venant de la coréenne :
« Oppa… »
Imi nae nunmureun da ma ma mareugo
On me dit que l’amour ça fait mal, c’est long, c’est éprouvant et ça ne sert à rien. Je n’ai jamais eut de petit-amis et je préfère m’occuper de mes amis. Je pense être plus douée pour ça, alors je laisse de côté ce sentiment et j’essaye de ne pas trop y penser. Avec le temps, il m’arrive de ressentir le besoin d’avoir quelqu’un auprès de moi mais je me tourne vers mon frère et me force à ignorer ça. Je ne cache pas le fait que je suis déjà tombée amoureuse mais j’ai plutôt aidé une de mes amies qui était amoureuse elle aussi de ce même garçon. Ca ne me fait pas mal d’être seule au milieu des filles de ma classe qui sont toutes en couple. Je le vis bien et je ne changerais pas ça de si tôt. Quand au blog et à ce Kupidys, je trouve que c’est méchant de faire ça et ridicule. J’y jette un coup d’œil une ou deux fois par mois mais pas plus, c’est vraiment quand je m’ennuie beaucoup que je laisse des commentaires mais c’est juste pour lui conseiller de fermer ce blog.