- papers, papers;;
here we go, come with me, there's a world out there that we should see, take my hand, close your eyes, with you right here, i'm a rocketeer. let's fly~ Il se souvient encore de tout cela, comme si c’était hier. Il ne pourrait jamais l’oublier, ça lui est impossible. Vraiment. Ses caresses, ses doigts, sa voix rassurante, ses étreintes, ses lèvres, toutes les douceurs qu’il n’avait jamais vécues… Il ne pourrait jamais l’oublier. Il n’a cependant jamais vu son visage, jamais. Étrange n’est-ce pas ? Et pourtant non. A un simple bal masqué de lycée, il l’avait attiré dans une des classes vides, avec un lâche prétexte qu’il y avait un problème… « Excusez-moi, si je ne me trompe pas, vous êtes bien le délégué de la classe 3-D ? Il y a un problème avec une élève de votre classe. » … Et ces simples mots l’avait gravé, comment avait-il pu le reconnaître parmi la foule ? Il était vêtu comme les autres, et un masque cachait son visage, il avait même lissé ses cheveux. Sur le moment, il n’y avait pas porté tant attention que ça, le garçon avait saisit sa main et il le traînait déjà dans les couloirs. Sa main était tiède, une chaleur particulièrement appréciable. Il entrèrent dans une classe. Il s’attendait à voir la jeune fille, mais rien, rien du tout. « Tu te fous de moi ? Elle est où cette élève en difficulté ?! » demanda-t-il alors qu’il le suspectait déjà … Et c’est la que son malheur, non plutôt ce qui allait devenir son obsession commença. Il n’avait pas eut le temps de dire ouf qu’il était poussé contre une table. Son masque vint percuter bien rapidement le carrelage qui recouvrait le sol sous leurs pieds. Ses lèvres étaient bien vite saisies par son ‘agresseur’. Il ne comprenait pas, ses mains se glissaient doucement sur son corps, débouclant déjà son pantalon. Ne sachant quoi faire, il restait surpris, les yeux écarquillés et la bouche entrouvertes. Il l’avait donc attiré ici pour le… Non. Il lui avait tendrement soufflé entre ses lèvres un « Je vous aimes, Nakamura-san. » discret mais audible. Il ne voyait pas son visage, mais il avait cet accent, légèrement, sans doute. Il voulu lui retirer son masque mais celui-ci le repoussa, entêté à garder son identité secrète… C’était sans doute mieux pour lui comme ça. Commençant déjà à le tripoter un peu plus. Faible, faible puceau qu’étais encore Sasha, pour une fois qu’on lui vouait un peu d’intérêt pour ce qu’il était et pas pour le rôle de délégué qu’il avait toujours eut… Il ferma les yeux et doucement, le laissait faire. Chacun de ses gestes étaient doux, passionnés, délicats. Comme si c’était une petite fleur qu’on cueillait dans un pré. Il s’était laissé faire, il devenait grand. Un prince pour lui. Mais c’est surtout son petit « Veuillez attendre un peu, Nakamura-san… Je ne peux pas vous dévoiler mon identité à présent. Laissez-moi régler quelques différents, je vous promet de revenir… Après tout, vous êtes à moi et à personne d’autres. » qui le perturbait. Cela trottait dans sa tête et encore jusqu’à aujourd’hui… Il n’a jamais pu oublier cette nuit. Son Roméo, avait disparu dans la foule, lui pouvait le voir quand à Sasha, il devait le chercher constamment. Il avait aperçu ce tatouage dans sur sa hanche, ainsi qu’un grain de beauté sur son épaule, bien plus gros qu’habituellement, ce qui lui donnait tout son charme… Jusqu’à maintenant, plus jamais il ne les as revu. Il recevait des lettres anonymes de son cher prince, une écriture à la fois fluide et complexe. Toute les semaines, il avait droit à une petite lettre ou un petit mot parfois quand il n’y avait pas grand-chose à dire… Tout cela jusqu’à ce jour là, la dernière lettre qu’il reçu de lui : « Nakamura-san, je suis tellement désolé. J’ai fait tellement empirer les choses… Mais c’est trop tard pour reculer. Je part en Corée dans moins de deux semaine, mon père ayant arrangé un mariage rapidement. Il a apprit que je vous aimait Nakamura-san. Il ne l’a pas accepté. Il déteste ce lycée, bien qu’on y apprenne de bonnes choses, c’est un lycée publique. J’irais donc terminer mes études en Corée du Sud, à Séoul dans un grand lycée honorable et renommé de la cité. S’il vous plaît, ne me suivez pas. Ne faites pas d’erreurs et ne gâchez pas votre vie. Oubliez-moi, sempai… Je vous aimes malgré tout et je n’ai jamais aimé personne d’autres. » … En lisant cette lettre, les larmes aux yeux, vous ne vous étonnez pas si je vous dit qu’il ne l’écoutera pas ? Il l’avait pris comme une demande au secours, allant donc le chercher dans l’espoir de le retrouver dans ce grand pays… Enfin, ce n’est pas de tout repos. Etant plutôt pauvre, il a dut travailler pendant un an, devant parfois enchaîner plusieurs boulots dans une même journée pour pouvoir enfin prendre son envol correctement jusqu’en Corée et y vivre pleinement. Nakamura Sasha est donc né dans une famille modeste japonaise, dans la péninsule de Kobe. Un peu dans le genre de patelin paumé qu’on trouve dans les coins les plus reculés de la régions, jusqu’à ce qu’il furent obligés de déménager à Tokyo pour trouver de l’emploi. Un simple restaurant et une boulangerie pour sa mère, pas des grand magasins quoi. Et Sasha et ses deux petits frères, de faux jumeaux allaient donc à l’école. Jamais Sasha ne s’est plaint de quoi que ce soit, jamais il n’a refusé ce qu’il devait subir. Surtout pas cette maladie, le syndrome de Lafora, qu’il tente de cacher à qui que ce soit. Il est gentil, surtout très amical, il aime rire et s'amuser, même si avec ceux qu'il ne connait pas il peut se montrer très réservé, timide. Au fond, quand on le connait mieux, on s'attache vite, on l'apprécie, puisqu'il est quelqu'un de très ouvert, même plutôt populaire. Un peu narcissique et macho sur les bords, il n'aime pas trop qu'on le charrie car il est susceptible et rancunier, il a vraiment du mal à pardonner... Un véritable défaut. Cependant, il est très travailleur et perfectionniste. Il continue donc de vivre, seul à Séoul pour le moment, jusqu’à ce qu’il apprenne la mort de son père, d’un cancer général foudroyant. Il est mort dans les heures qui ont suivit. Aujourd’hui, il a une petite maison où il a accueillit sa mère et ses deux cadets, après trois ans sans les voir. Il cherche donc toujours ce garçon, malgré qu’une jeune fille à l’air de lui en vouloir et aussi d’être au courant pour tout ça… Que lui veut-elle ? L’éloigner ? Il cherche désespérément à comprendre…
oh yeah, darling, the search for the mr. unknown.Kupidys ? Ne m'en parlez pas. Je me sens mal à l'aise quand je lis tout ça, j'ai jamais vraiment ressenti tout ce qu'il, ou qu'elle, écrit. Le véritable amour non plus, ce n'est pas tellement mon truc, je sais pas trop quoi en penser. C'est étrange. Je ne l'aime que pour sa douceur et parce qu'il est le seul à me connaître tel que je suis et qui surtout à appris mon secret sans que je le lui dise... Oui, cet inconnu m'intrigue bien qu'au fond, je ne crois pas forcément à l'amour, je préfère travailler que de m'attarder sur le sujet.
oh yeah, darling, the search for the mr. unknown.Kupidys ? Ne m'en parlez pas. Je me sens mal à l'aise quand je lis tout ça, j'ai jamais vraiment ressenti tout ce qu'il, ou qu'elle, écrit. Le véritable amour non plus, ce n'est pas tellement mon truc, je sais pas trop quoi en penser. C'est étrange. Je ne l'aime que pour sa douceur et parce qu'il est le seul à me connaître tel que je suis et qui surtout à appris mon secret sans que je le lui dise... Oui, cet inconnu m'intrigue bien qu'au fond, je ne crois pas forcément à l'amour, je préfère travailler que de m'attarder sur le sujet.