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et cet enfant ne s'est jamais rendu compte de ce que faisait sa mère pour lui, rien de plus.
Lily-Rose est née un 13 décembre, sans père. Un lâche ayant abandonné ses responsabilités, sa femme et son bébé au 6eme mois de sa formation. Un homme ingrat, infidèle et superbement riche. Il partit un matin sans mot dire tout comme il était venu. Il ne laissa ni adresse, ni numéro de téléphone, ni argent. Il n’avait jamais existé et la seule preuve prouvant sa vie auprès de cette pauvre femme devait sans doute être l’enfant qui grandissait dans son ventre, petit à petit. Une petite fille, Lily. Le géniteur ne revint jamais, se faisant oublier de tout, peut-être même avait-il changé de pays recommençant le scénario qu’il avait joué ici. Allait-il se trouver une nouvelle femme, lui faire un enfant et s’en aller tout aussi facilement, tel un coucou ? Lily-Rose était-elle son premier enfant ? Personne n’était capable de répondre à ces questions et ce n’était pas plus mal finalement. Puisqu’il était parti il fallait oublier, ne pas faire attention à ce trou béant qui se creusait au fond de son âme depuis sa naissance. Un manque, une carence, indubitablement. L’enfant grandit à son rythme, bravant le manque. Au final, on se dit que ce n’est pas si terrible, que d’autres y sont passés comme pour rien. Et si Lily laissait croire que rien n’affectait son cœur d’enfant il en était autrement à l’intérieur de sa tête. Une frustration perpétuelle dans la cour d’école, que ce soit à la sortie des cours en voyant ses camarades de classe filer dans les bras de leurs pères ou aux fêtes scolaires. De la jalousie, la rendant plus forte et agressive envers ces autres enfants bénis de tout. Et puisqu’il faut un responsable, ne fusse que pour apaiser cette colère profonde, elle désigna sa mère pour la première fois.
Les Bae n’étaient pas très riches, non. L’enfant fréquentait une école modeste alors que sa mère qu’elle ne voyait que très peu travaillait sans relâche. Un bonsoir furtif le soir, Lily vivait seule. Elle est rapidement devenue autonome, préparant ses repas, lavant ses vêtements et s’occupant d’elle en général parce que personne d’autre ne pouvait le faire. La solitude devenait une alliée et malgré tout elle souriait encore, jour après jour. Et malgré tout elle continuait de vivre, imitant les autres comme si tout allait à merveille. L’enfant mentait, elle mentait à tout le monde en inventant une vie trop ambitieuse à sa génitrice. Elle était une brillante journaliste qui n’avait pas beaucoup de temps pour elle quant à son père ; il était mort dans un accident de la route avant sa naissance. C’était plus facile de résumer les choses ainsi, c'était plus facile à accepter. Derrière ce masque fabuleux et sans doute trop parfait, Lily ne se doutait pas que son père vivait une vie de roi, de pacha. Pire encore, Lily ne se doutait pas que sa mère, brillante journaliste n’était en réalité qu’une vulgaire prostituée qui se vendait pour payer le loyer et la nourriture de sa fille, condamnant sa propre vie.
L’enfant maintenant adolescente croyait à ses propres mensonges sans jamais s’intéresser à la vie de sa mère. Elle venait et partait, ainsi soit-il. Au final, ce n’était que sa rancune d’enfant. Malgré leur condition plus que déplorable, Lily vivait comme une princesse. Elle ne manquait et demandait toujours plus. Ses fréquentations ne concernaient que des gens de la haute société, des bourges et elle voulait vivre comme eux sans se soucier de rien, peut-être pour combler le vide qui l’aspirait jour après jour. Sa mère ne rechignait jamais, mordant sur sa chique pour satisfaire son enfant parce qu’elle culpabilisait de lui avoir offert ce genre de vie. Lily grandit ainsi, dans un luxe mensonger. Elle avait du succès, oui, c’était une belle fille en définitive. Plutôt petite et frêle, les épaules rondes et les formes généreuses. Beaucoup se damnaient pour elle, sans succès cependant.
Sa mère tomba malade alors qu’elle venait de fêter ses 17 ans. Le sida qui l’emporta de façon radicale. Pas d’argent, pas de traitement. Lily appris la vérité. Sa mère n’était évidemment pas journaliste mais bel et bien catin. Elle se retrouvait seule, encore plus seule que jamais. Bien qu’autonome, elle ne savait plus tellement quoi faire de sa vie. Le retour sur terre fût brutal. Lily revendit toutes ses affaires luxueuses, quémanda de l’aide sociale et stoppa ses fréquentations hypocrites pour se consacrer aux études dans l’espoir de devenir avocate. C’était le désir de sa mère, « avocate, tu auras beaucoup d’argent. Sois douée, tu en es capable. ». Actuellement Lily vit toute seule, enchainant petits boulots entre ses cours pour vivre bien qu’elle reçut des bourses pour ses études.
B o n u s.c a r a c t e r e ;;
Lily est une jeune fille autonome, elle se débrouille toujours par elle-même sans jamais demander l’aide de quelqu’un ou très rarement. Pas tellement par orgueil mais par habitude. Elle peut endurer beaucoup de choses parce qu’elle a été conditionnée. Même si elle peut se montrer autoritaire ou sévère elle n’en reste pas moins douce et féminine. Elle est avant tout indépendante. Elle a un caractère plutôt facile et sociable, n’a pas peur d’aller vers les gens et d’engager la conversation. Respectable, elle évite au maximum la vulgarité même si le choix de ses vêtements n’est pas toujours judicieux.
et la mère n'oublie pas ce jour où cet homme ingrat les a abandonnés.
Alors que Lily-Rose venait de perdre sa maman après avoir réalisé sa réelle condition, elle fit la rencontre de cet homme par le biais d’une connaissance. Avec elle il était bon, attentionné et sans réellement chercher à comprendre pourquoi, une relation pure s’installa entre eux. Il ne faisait pas partie du même monde qu’elle et, évidemment, elle avait parfois l’impression de ne pas être à sa place. Il avait une grandeur d’âme exceptionnelle, à ses yeux il était bien plus que parfait. Jae Joon, le seul amour de sa vie. Alors que même la vie lui tournait le dos, il lui avait ouvert la porte, faisant attention à elle comme personne. Il devenait ce père, cette mère à ses yeux, il était la présence dont elle avait toujours manqué. Alors oui, à cette époque elle s’était reposée un peu sur lui, profitant de sa tendresse même si au fond elle restait toujours cette jeune fille forte. Plus âgé qu’elle, il était ce pilier, sa dernière raison de vivre. Et honnêtement oui, il était bien plus qu’un ami à ses yeux mais elle ne se sentait pas capable de lui dire. Trop modeste pour se confier à lui. Lui qui venait de la haute société, elle ne le méritait pas. Elle ne voulait pas tâcher son image en s’imposant à ses côtés, elle, vulgaire bâtarde de prostituée. Lily s’imposa des limites, des barrières pour ne pas flancher mais Jae réclamait toujours plus de proximité, toujours plus insistant. Il tenait à elle et n’hésitait pas à lui montrer que ce soit en répondant à ses appels à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit ou en accourant chez elle, jour après jour. Il lui faisait perdre la tête, sans même le savoir. Et puis sa muraille s’effondra comme un château de sable balayé par la mer. Trop, c’était vraiment de trop. Elle succomba et lui déclara son amour. Il était réciproque et Jae Joon lui proposa de devenir sa moitié. Elle accepta. Ils étaient biens, bénis des dieux. À croire qu’ils étaient destinés l’un pour l’autre depuis le départ, tout simplement.
L’année s’écoula comme pour rien, un pur plaisir de s’éveiller à ses côtés plusieurs fois par semaine quand l’un allait chez l’autre. Il la rendait heureusement, la comblait en tous points comme personne. Il était son Dieu, le seul et unique homme pour qui elle voulait se donner, pour qui elle voulait être parfaite. Il faisait d’elle une femme tendre, sensuelle et amoureuse. Prête à tout ? Sans doute, malgré sa frêle carrure elle aurait été capable de se vendre au diable, se mutiler pourvu qu’il soit heureux. De savoir qu’elle arrivait à apaiser sa personne, à le rendre capable d’aimer avec sincérité la rendait heureuse, pire encore. Il lui faisait littéralement perdre la tête et c’était pur.
Puis un accident. Lily tomba enceinte de Jae Joon. Elle le découvrit assez tôt puisque réglée comme une pendule, passant plusieurs tests et allant consulter. Il y avait bel et bien un futur enfant au creux de son ventre, l’enfant de Jae, l’homme de ses rêves, de sa vie. L’évènement aurait pu être un bonheur, peut-être même la base d’une grande histoire d’amour. Pourtant Lily-Rose se rongeait l’esprit. 18 ans, c’était bien trop jeune et Jae était à l’école, quelle image allait-elle lui donner ? Celle d’une mauvaise fille qui lui a fait un enfant dans le dos afin qu’il le déclare et lui verse une pension colossale ou pire encore, l’épouse pour qu’elle puisse mener la vie d’une reine ? Non, elle n’osait pas lui dire. Un mois s’écoula et au fond un malaise s’installa. Ayant décidé finalement de garder l’enfant, elle développa une phobie monstrueuse à propos de son petit ami. Une peur qui lui tiraillait le ventre et le cœur, jour après jour. Pouvait-il l’abandonner, ne plus l’aimer ? Elle devenait insupportable, jalouse, hyper-possessive chose qu’elle n’était pas avant, ou très peu. L’idée de se retrouver seule avec cet enfant lui faisait peur, tout simplement. Et puis Jae rompit avec elle, dans la douleur la plus totale alors qu’elle s’apprêtait à le mettre au courant. Et sans doute que c’était bien mieux ainsi. Elle accepta les torts qu’il exposait les uns après les autres, hochant la tête. Retint ses larmes et ses cris de douleur au plus profond d’elle pour disparaitre la queue entre les jambes. Elle se fit avorter sans personne pour la soutenir. Et encore une fois elle se retrouvait seule, ayant perdu le seul et unique amour de sa vie. Évidemment, à l’heure actuelle le sujet la blesse encore énormément. Amoureuse, pire encore, elle en est bleue. Mais plus jamais il ne reviendra, s’il la quitté c’est bien parce qu’il ne l’aime plus, non ? Elle qui a fait fuir son père, assassiné sa mère et dégoûté son petit ami à vie. Une pauvre femme.
Kupidys ? Elle ne s’y intéresse pas du tout.
Lily-Rose est née un 13 décembre, sans père. Un lâche ayant abandonné ses responsabilités, sa femme et son bébé au 6eme mois de sa formation. Un homme ingrat, infidèle et superbement riche. Il partit un matin sans mot dire tout comme il était venu. Il ne laissa ni adresse, ni numéro de téléphone, ni argent. Il n’avait jamais existé et la seule preuve prouvant sa vie auprès de cette pauvre femme devait sans doute être l’enfant qui grandissait dans son ventre, petit à petit. Une petite fille, Lily. Le géniteur ne revint jamais, se faisant oublier de tout, peut-être même avait-il changé de pays recommençant le scénario qu’il avait joué ici. Allait-il se trouver une nouvelle femme, lui faire un enfant et s’en aller tout aussi facilement, tel un coucou ? Lily-Rose était-elle son premier enfant ? Personne n’était capable de répondre à ces questions et ce n’était pas plus mal finalement. Puisqu’il était parti il fallait oublier, ne pas faire attention à ce trou béant qui se creusait au fond de son âme depuis sa naissance. Un manque, une carence, indubitablement. L’enfant grandit à son rythme, bravant le manque. Au final, on se dit que ce n’est pas si terrible, que d’autres y sont passés comme pour rien. Et si Lily laissait croire que rien n’affectait son cœur d’enfant il en était autrement à l’intérieur de sa tête. Une frustration perpétuelle dans la cour d’école, que ce soit à la sortie des cours en voyant ses camarades de classe filer dans les bras de leurs pères ou aux fêtes scolaires. De la jalousie, la rendant plus forte et agressive envers ces autres enfants bénis de tout. Et puisqu’il faut un responsable, ne fusse que pour apaiser cette colère profonde, elle désigna sa mère pour la première fois.
Les Bae n’étaient pas très riches, non. L’enfant fréquentait une école modeste alors que sa mère qu’elle ne voyait que très peu travaillait sans relâche. Un bonsoir furtif le soir, Lily vivait seule. Elle est rapidement devenue autonome, préparant ses repas, lavant ses vêtements et s’occupant d’elle en général parce que personne d’autre ne pouvait le faire. La solitude devenait une alliée et malgré tout elle souriait encore, jour après jour. Et malgré tout elle continuait de vivre, imitant les autres comme si tout allait à merveille. L’enfant mentait, elle mentait à tout le monde en inventant une vie trop ambitieuse à sa génitrice. Elle était une brillante journaliste qui n’avait pas beaucoup de temps pour elle quant à son père ; il était mort dans un accident de la route avant sa naissance. C’était plus facile de résumer les choses ainsi, c'était plus facile à accepter. Derrière ce masque fabuleux et sans doute trop parfait, Lily ne se doutait pas que son père vivait une vie de roi, de pacha. Pire encore, Lily ne se doutait pas que sa mère, brillante journaliste n’était en réalité qu’une vulgaire prostituée qui se vendait pour payer le loyer et la nourriture de sa fille, condamnant sa propre vie.
L’enfant maintenant adolescente croyait à ses propres mensonges sans jamais s’intéresser à la vie de sa mère. Elle venait et partait, ainsi soit-il. Au final, ce n’était que sa rancune d’enfant. Malgré leur condition plus que déplorable, Lily vivait comme une princesse. Elle ne manquait et demandait toujours plus. Ses fréquentations ne concernaient que des gens de la haute société, des bourges et elle voulait vivre comme eux sans se soucier de rien, peut-être pour combler le vide qui l’aspirait jour après jour. Sa mère ne rechignait jamais, mordant sur sa chique pour satisfaire son enfant parce qu’elle culpabilisait de lui avoir offert ce genre de vie. Lily grandit ainsi, dans un luxe mensonger. Elle avait du succès, oui, c’était une belle fille en définitive. Plutôt petite et frêle, les épaules rondes et les formes généreuses. Beaucoup se damnaient pour elle, sans succès cependant.
Sa mère tomba malade alors qu’elle venait de fêter ses 17 ans. Le sida qui l’emporta de façon radicale. Pas d’argent, pas de traitement. Lily appris la vérité. Sa mère n’était évidemment pas journaliste mais bel et bien catin. Elle se retrouvait seule, encore plus seule que jamais. Bien qu’autonome, elle ne savait plus tellement quoi faire de sa vie. Le retour sur terre fût brutal. Lily revendit toutes ses affaires luxueuses, quémanda de l’aide sociale et stoppa ses fréquentations hypocrites pour se consacrer aux études dans l’espoir de devenir avocate. C’était le désir de sa mère, « avocate, tu auras beaucoup d’argent. Sois douée, tu en es capable. ». Actuellement Lily vit toute seule, enchainant petits boulots entre ses cours pour vivre bien qu’elle reçut des bourses pour ses études.
B o n u s.c a r a c t e r e ;;
Lily est une jeune fille autonome, elle se débrouille toujours par elle-même sans jamais demander l’aide de quelqu’un ou très rarement. Pas tellement par orgueil mais par habitude. Elle peut endurer beaucoup de choses parce qu’elle a été conditionnée. Même si elle peut se montrer autoritaire ou sévère elle n’en reste pas moins douce et féminine. Elle est avant tout indépendante. Elle a un caractère plutôt facile et sociable, n’a pas peur d’aller vers les gens et d’engager la conversation. Respectable, elle évite au maximum la vulgarité même si le choix de ses vêtements n’est pas toujours judicieux.
et la mère n'oublie pas ce jour où cet homme ingrat les a abandonnés.
L’année s’écoula comme pour rien, un pur plaisir de s’éveiller à ses côtés plusieurs fois par semaine quand l’un allait chez l’autre. Il la rendait heureusement, la comblait en tous points comme personne. Il était son Dieu, le seul et unique homme pour qui elle voulait se donner, pour qui elle voulait être parfaite. Il faisait d’elle une femme tendre, sensuelle et amoureuse. Prête à tout ? Sans doute, malgré sa frêle carrure elle aurait été capable de se vendre au diable, se mutiler pourvu qu’il soit heureux. De savoir qu’elle arrivait à apaiser sa personne, à le rendre capable d’aimer avec sincérité la rendait heureuse, pire encore. Il lui faisait littéralement perdre la tête et c’était pur.
Puis un accident. Lily tomba enceinte de Jae Joon. Elle le découvrit assez tôt puisque réglée comme une pendule, passant plusieurs tests et allant consulter. Il y avait bel et bien un futur enfant au creux de son ventre, l’enfant de Jae, l’homme de ses rêves, de sa vie. L’évènement aurait pu être un bonheur, peut-être même la base d’une grande histoire d’amour. Pourtant Lily-Rose se rongeait l’esprit. 18 ans, c’était bien trop jeune et Jae était à l’école, quelle image allait-elle lui donner ? Celle d’une mauvaise fille qui lui a fait un enfant dans le dos afin qu’il le déclare et lui verse une pension colossale ou pire encore, l’épouse pour qu’elle puisse mener la vie d’une reine ? Non, elle n’osait pas lui dire. Un mois s’écoula et au fond un malaise s’installa. Ayant décidé finalement de garder l’enfant, elle développa une phobie monstrueuse à propos de son petit ami. Une peur qui lui tiraillait le ventre et le cœur, jour après jour. Pouvait-il l’abandonner, ne plus l’aimer ? Elle devenait insupportable, jalouse, hyper-possessive chose qu’elle n’était pas avant, ou très peu. L’idée de se retrouver seule avec cet enfant lui faisait peur, tout simplement. Et puis Jae rompit avec elle, dans la douleur la plus totale alors qu’elle s’apprêtait à le mettre au courant. Et sans doute que c’était bien mieux ainsi. Elle accepta les torts qu’il exposait les uns après les autres, hochant la tête. Retint ses larmes et ses cris de douleur au plus profond d’elle pour disparaitre la queue entre les jambes. Elle se fit avorter sans personne pour la soutenir. Et encore une fois elle se retrouvait seule, ayant perdu le seul et unique amour de sa vie. Évidemment, à l’heure actuelle le sujet la blesse encore énormément. Amoureuse, pire encore, elle en est bleue. Mais plus jamais il ne reviendra, s’il la quitté c’est bien parce qu’il ne l’aime plus, non ? Elle qui a fait fuir son père, assassiné sa mère et dégoûté son petit ami à vie. Une pauvre femme.
Kupidys ? Elle ne s’y intéresse pas du tout.
