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people are afraid of themselves, of their own reality; their feelings most of all. love hurts. feelings are disturbing. people are taught that pain is evil and dangerous. how can they deal with love if they're afraid to feel? people try to hide their pain. but they're wrong. pain is something to carry. pain is a feeling. your feelings are a part of you.écrire en à peu près 700 mots (le stricte minimum) l'histoire de votre personnage, de sa naissance à aujourd'hui y ajoutant le caractère et un peu de description physique à votre récit. bien sûr, ne détaillez pas jusqu'à la couleur de ses sous-vêtements, soyez brefs et clairs~ ne vous inquiétez pas, 700 mots c'est pas grand chose, l'inspiration viendra en écrivant!
you can't talk about love if i don't even love you.Kupidys, je ne le connais pas vraiment. Certes, j’ai passé quelques minutes à survoler son site – qui ne l’a pas déjà fait – sans vraiment prendre la peine de lire en profondeur. L’amour n’est pas un sujet qui m’intéresse. Les histoires des autres encore moins – sauf exceptions. Et des exceptions, il n’y en a qu’une seule. Je préfère prendre soin de celui qui prend toute la place dans mon petit cœur meurtri plutôt que de m’étendre sur mes propres problèmes d’incompatibilité amoureuse. Non, je ne suis pas faite pour être en couple. À toutes les fois où j’ai fait cette tentative, mes relations se sont soldées par des échecs. Laisser faire le destin, ne pas le provoquer. C’est probablement à ça que je me suis résolu. Attendre. Encore et encore. Jusqu’à sentir une pointe d’espoir prendre forme au creux de mon ventre. Jusqu’à me sentir un peu plus importante aux yeux d’une certaine personne. Pour vite me rendre compte de ses intentions et retomber maladroitement de mon piédestal. Et me faire mal, comme à chaque fois.
U.C
you can't talk about love if i don't even love you.Kupidys, je ne le connais pas vraiment. Certes, j’ai passé quelques minutes à survoler son site – qui ne l’a pas déjà fait – sans vraiment prendre la peine de lire en profondeur. L’amour n’est pas un sujet qui m’intéresse. Les histoires des autres encore moins – sauf exceptions. Et des exceptions, il n’y en a qu’une seule. Je préfère prendre soin de celui qui prend toute la place dans mon petit cœur meurtri plutôt que de m’étendre sur mes propres problèmes d’incompatibilité amoureuse. Non, je ne suis pas faite pour être en couple. À toutes les fois où j’ai fait cette tentative, mes relations se sont soldées par des échecs. Laisser faire le destin, ne pas le provoquer. C’est probablement à ça que je me suis résolu. Attendre. Encore et encore. Jusqu’à sentir une pointe d’espoir prendre forme au creux de mon ventre. Jusqu’à me sentir un peu plus importante aux yeux d’une certaine personne. Pour vite me rendre compte de ses intentions et retomber maladroitement de mon piédestal. Et me faire mal, comme à chaque fois.
U.C
